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  • Jilda Hacikoglu

Dictature digitale et libre conscience

Savez-vous ce qui vous a conduit à lire cette page ?


Si oui : bravo ! Vous connaissez les choix qui vous ont menés ici, selon vos goûts et peut-être votre humeur du moment. Surtout, continuez ainsi.


Si vous hésitez : bienvenue dans les paradoxes de l’information de masse. Ceux où la liberté de diffusion mêle sans états d’âme journalisme honnête et fausses nouvelles éhontées, en passant par les suggestions grandissantes d’algorithmes dont les intentions sont... tout sauf les vôtres. La navigation s’y fait à vue, agaçante, et les dérives sont déjà là. Leur futur ?


En voici une dérive que pointe Yuval Noah Harari dans 21 leçons pour le XXIème siècle : la dictature digitale.






Par exemple dans cette partie vertigineuse concernant la liberté, si menacée par la réalité numérique qui nous enveloppe.


L’alerte a été reprise et expliquée ailleurs par l’auteur du monumental Sapiens. Entre autre par ici.




La bonne nouvelle est l’une des pistes avancées par le brillant historien pour limiter ces influences. Se connaître, est une sage nécessité que rappelle Harari. Avec ses failles, ses tendances, ses aspirations propres, et se donner les moyens ainsi, d'aviser.

Je ne sais pas ce qui adviendra après, mais si je suis au clair sur ce qui m’est fondamental, ce qui me distingue, j’ai une boussole identitaire qui me laisse une certaine liberté face à l’inconnu.


Le bon vieux « Connais-toi toi-même » de Socrate, inspiré du début de la maxime gravée à l’entrée du temple de Delphes (‘Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux’).


C’est cela, ou devenir un peu plus les pantins répondant au moindre contenu poussé comme un interrupteur dans notre fil.


Fort heureusement les alternatives existent : l’action qui déclenche une suite, l’interaction qui lance une boucle de communication et amplifie nos mouvements, pour aller se fondre dans un système plus vaste, lui aussi influencé par toutes ces mécaniques internes. Le grand NOUS en action. D’autant plus efficace qu’il est convergent, et tout commence chez une personne. Vous.


Vous qui finissez ces lignes, en vous demandant peut-être : comment ?


Joan Didion disait « Je ne sais pas ce que je pense tant que je ne l’ai pas écrit ». Écrire est une possibilité. Il y en a d’autres. En ce janvier qui se relève comme il peut, groggy d’avoir quitté une année imprévisible, je vous propose deux pistes simples.


 

Une séance spéciale de coaching pour renforcer votre confiance.


Ce coaching s'inspire des pratiques narratives. A l'issue de la séance vous recevrez donc un petit texte que j'aurais composé pour vous, et qui ne concernera que vous.


Vous aurez de quoi avancer avec un élan renouvelé quelles que soient vos perspectives. Même si vous ne visez rien en particulier. L'écrit permettra d'ancrer votre force toute personnelle. Vous pourrez y revenir quand votre feu intérieur s’affaiblira, ce qui arrivera aussi sûrement qu’il se ranimera aussi. Car contrairement aux armes des dictatures digitales, nous ne sommes pas des robots. Ces cycles humains sont notre lot.

Autant l'accepter pour s’y préparer.


 

Un parcours guidé vers une meilleure connaissance de soi.


En cinq étapes simples, dont chacune comprendra

  • une recommandation concrète & des exercices que vous recevrez par mail,

  • un coaching en visio pour débriefer votre expérience des exercices.

Vous progresserez ainsi vers une habitude auto-exploratoire, parfaite pour éclairer vos choix futurs.


Bonus : vous pourrez réutiliser les fruits de ce parcours et le développer à votre idée, en toute autonomie.



Deux dernières photos : Sporlab, sur Unsplash

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